int calibrate() { int tempmin,tempmax; wait_event(&touch2,0); tempmin=LIGHT_1; dsound_play(lowbeep); wait_event(dsound_finished,0); wait_event(&touch2,0); tempmax=LIGHT_3; dsound_play(hibeep); wait_event(dsound_finished,0); lambda=(MAX_SPEED-MIN_SPEED)/(tempmax-tempmin); //division entiere muhhhh=(lambda*tempmin-MIN_SPEED); return 0; }
Afin d'optimiser les capacités d'accélération, on utilisera finalement 4 moteurs
(dont 2 gracieusement prêtés par le CMI) sur le robot, un par roue, regroupés
par paire sur une sortie du RCX. Si les gains en puissance (et adhérence) semblent
significatifs, le RCX lui, ne semble pas trop apprécier la surcharge.
2.3
On reprendra prudemment les essais avec 3 moteurs, branchés sur les 3 sorties du
RCX. On gagne
un petit peu d'accélération, mais surtout on a un meilleur contact au sol dû à une poussée mieux répartie.
Depuis la présence des capteurs de contact, le pendule ne chute plus -violemment- au sol, mais reste en butée sur le capteur
, formant toutefois un angle
suffisamment grand pour que tout espoir de rattraper le pendule soit envolé. On peut ainsi dorenavant
lancer le pendule depuis
cette position de butée, et donc faire disparaître l'action de l'expérimentateur des tests. On avance
à fond pendant plus d'une seconde,
on freine brutalement, on attend que le pendule repasse par sa position d'équilibre, et on rend la
main. La durée d'accélération nécessaire est
cependant intrinsèquement liée aux capacités d'accélération et donc à l'état des batteries.